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lundi 13 octobre 2014

BPI 42 Milliards d'euros de financement et d'investissement




Les Echos | 13/10/2014
Bpifrance met ses participations au service des PME
La banque veut équilibrer ses risques sectoriels.
Ses cessions seront réinvesties dans les PME et ETI.

Les cessions vont bon train chez bpifrance. Dernière en date, la vente de 1,9 % du capital d'Orange, publiée au « Journal officiel » vendredi. Décidée main dans la main avec l'Etat, autre actionnaire de poids dans l'opérateur télécoms, cette opération viendra gonfler les comptes de la banque publique d'une plus-value de près de 584 millions d'euros cette année. Une somme qui pourrait encore grimper un peu si la banque publique décidait de réévaluer ses titres encore détenus dans l'opérateur télécoms. Au-delà de l'apport financier évident, cette opération permet à bpifrance de renforcer son modèle économique afin de réaffirmer sa mission auprès des PME et ETI françaises.

« C'était une nécessité pour rééquilibrer notre portefeuille. Avec plus de 13,5 % du capital d'Orange dans ses comptes, bpifrance était exposé à hauteur de 25 % de ses titres placés sur Orange », fait valoir Nicolas Dufourcq, directeur général de bpifrance aux « Echos ». Pour mémoire, cette forte exposition avait conduit le Fonds stratégique d'investissement (FSI) à enregistrer une dépréciation de 2,4 milliards d'euros en 2013.

Pour la banque publique, c'est aussi cette logique de recentrage de son exposition 

qui a achevé de la convaincre de céder près de la moitié de sa participation dans l'équipementier Valeo en mars dernier. « Nous sommes actuellement surexposés 
dans le secteur automobile, l'électronique, le numérique et le parapétrolier. 
Ces secteurs sont jugés stratégiques, cette surexposition a été consciente, 
mais, aujourd'hui, une réflexion est en cours pour chercher à mieux équilibrer les risques par secteurs d'activité », explique Jean-Yves Gilet, directeur du pôle ETI 
et grandes entreprises de bpifrance.

Nouvelle doctrine
Dotée d'un portefeuille de près de 15 milliards d'euros de participations dans des grandes entreprises, héritées du Fonds stratégique d'investissement (FSI) ou apportées par ses deux actionnaires à sa création, la banque publique s'emploie aussi à se délester peu à peu de certaines de ses lignes d'investissement jugées non stratégiques, soit des participations de 1 % ou 2 % dans des entreprises dont elle n'entend pas influer dans la gouvernance. Une politique en ligne avec la nouvelle doctrine de l'Etat actionnaire, qui s'autorise désormais quelques cessions opportunes.

A ce titre, bpifrance a d'ores et déjà vendu ses titres dans Aéroports de Paris 

en juillet 2013, de concert avec l'Agence des participations de l'Etat qui s'est allégée 
à la même occasion. Il s'est aussi défait de ceux détenus dans le groupe Accor. 
Plus récemment, bpifrance s'est aussi délesté de sa participation dans la société immobilière Nexity, une activité qui n'entre pas dans le champ prévu par sa doctrine d'investissement. « Bpifrance n'a pas vocation à faire de la gestion de portefeuille 
à la manière d'un investisseur institutionnel comme la Caisse des Dépôts. 
Ces petites lignes de participations non stratégiques peuvent être cédées à terme 
pour venir financer des investissements dans des ETI ou des PME », 
fait valoir Nicolas Dufourcq.
Capture d'écran: http://pro.orange.fr


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LE FONDS INNOBIO GÉRÉ PAR BPFIRANCE, 5 ANS APRÈS SON LANCEMENT :
UN PARTENARIAT PUBLIC PRIVÉ RÉUSSI EN FAVEUR DES ENTREPRISES
FRANÇAISES DE BIOTECHNOLOGIES

Un rôle de place unique en France dans le financement des biotechnologies 
et de la valorisation de la recherche.
Un accélérateur de croissance et d’emplois pour les entreprises du secteur.
Un positionnement unique :
Le fonds InnoBio a été créé en octobre 2009 à l’occasion du Conseil Stratégique des Industries 
de Santé (CSIS), pour répondre à un double objectif :
· soutenir le développement des entreprises les plus prometteuses du secteur de la santé 
(biotech, medtech et diagnostic) pour les amener à un stade de maturité les rendant plus attractives 
aux financements classiques (IPO, partenariats pharmaceutiques…) ;
· créer un lien entre les sociétés de biotechnologies et les laboratoires pharmaceutiques.
Doté initialement de 139 millions d’euros, et aujourd’hui de 173 millions d’euros, suite au renforcement 
de Bpifrance, InnoBio est géré, au sein de Bpifrance, par une équipe d’investisseurs dédiée. 
Souscrit à hauteur de 49 % par Bpifrance et 51 % par 9 laboratoires pharmaceutiques français 
ou implantés en France (Sanofi, GSK, Pfizer, Roche, Novartis, Ipsen, Lilly, Boehringer Ingelheim 
et Takeda), InnoBio est l’unique fonds français à investir exclusivement dans l’hexagone 
à tous les stades de développement des entreprises de biotechnologies.
Un accélérateur de croissance et d’emplois :
Cinq ans après son lancement, le fonds a réalisé 16 investissements dans des sociétés françaises 
de biotechnologies, dont 11 sont issues de la recherche publique, 
pour un montant de 95 millions d’euros qui a permis de lever au total 448 millions d’euros.
· 6 de ces participations sont aujourd’hui cotées en Bourse (Adocia, DBV Technologies, 
Genticel, Pixium, Supersonic Imagine et TxCell), ce qui leur assure un accès aux marchés financiers ;
· 10 partenariats ont pu être signés avec l’industrie pharmaceutique ;
· l’effectif des entreprises du portefeuille a, quant à lui, enregistré une croissance de 70 %
postérieurement à l’entrée au capital d’InnoBio, représentant au total près de 440 emplois, 
en grande majorité hautement qualifiés
Laurent Arthaud, directeur du Pôle Investissements en sciences de la vie et écotechnologies 
de Bpifrance Investissement, indique :« Nous nous félicitons du rôle de place qu’occupe maintenant InnoBio en jouant le rôle de catalyseur dans les levées de fonds. Bpifrance, au travers d’InnoBio, 
a ainsi participé à la majorité des levées de fonds non cotées, supérieures de 10 millions d’euros, 
depuis 5 ans, et a accompagné 6 entreprises jusqu’à leur introduction en Bourse. ». Il ajoute : 
« La relation avec les laboratoires pharmaceutiques a permis de réaliser des investissements en intégrant les attentes de ceux qui pourraient être les futurs clients des entreprises en portefeuille ».
Marie-Pierre Chevalier, présidente du Comité Stratégique InnoBio, directrice Alliances Stratégiques
Pfizer, souligne : « Nous nous réjouissons de ce partenariat public-privé unique au monde favorisant 
le développement des sociétés de biotechnologies en France, et de la synergie trouvée entre industriels et investisseurs accélérant la valorisation de la recherche publique ».
Frédéric Sedel, CEO, co-fondateur de MedDay Pharmaceuticals, déclare : 
« Nous sommes très heureux d’avoir bénéficié du financement du fonds InnoBio 
et de son accompagnement qui nous ont permis de structurer la société à son démarrage 
et de lancer rapidement nos essais cliniques ».

Contacts presse :
Nathalie Police Tél. : 01 41 79 95 26 Mail : nathalie.police@bpifrance.fr
Vanessa Godet Tél. : 01 41 79 84 33 Mail : vanessa.godet@bpifrance.fr
Capture d'écran: http://www.bpifrance.fr/
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ISAI Développement FCPR
Fonds direct partenaire 
Le FCPR ISAI Développement est le fonds des entrepreneurs Internet, 
qui se positionne à mi-chemin entre les "business angels" et les capitaux-risqueurs en investissant 
entre 500 000 et 1,5 million euros 
dans de jeunes entreprises innovantes du secteur Internet ayant déjà fait leur preuve de concept.
ISAI regroupe plus de 70 entrepreneurs reconnus et compte, grâce à cet écosystème unique, 

apporter à une quinzaine de sociétés un fort accompagnement au-delà du financement.
 
Types d'interventions : Capital amorçage / Capital-Risque 
Secteurs d'activité : TIC 
Chiffres clés 2013 
Fonds gérés 35 millions d'euros 
Fourchette d'intervention de 0,5 à 1,5 millions d'euros

Pour en savoir plus sur le fonds Isaï Développement : 
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Le Brésil,
un territoire plein de promesses pour la France.


Comment se portent les relations économiques entre la France et le Brésil ? 
Sur le papier, la situation semble satisfaisante avec, pour l’Hexagone, 
un excédent commercial qui s’élève à 1,3 milliard d’euros pour l’année 2013. 
Mais pour l’heure, les relations franco-brésiliennes restent bien en deçà de leur potentiel. 

Barrières

Aujourd’hui, sur les 120 000 entreprises exportatrices françaises, seules 4 000 ont des relations d’affaires suivies avec le Brésil. Quant aux investissements directs français, ils ne représentent que 4 à 5 % des IDE (Investissements Directs à l’Etranger) dans ce qui est le plus grand pays d’Amérique latine. Au total, la part française du marché local stagne à 2,7 %. Il est vrai que s’y faire une place peut être extrêmement ardu. Le Brésil est l’un des pays les plus protectionnistes au monde. Les barrières douanières particulièrement élevées (0 à 200%) en témoignent incontestablement.

Débouchés

Pourtant, le potentiel du marché brésilien est immense, notamment dans les domaines des infrastructures urbaines, des transports ou bien encore de l’énergie. Autant de secteurs où la France a naturellement une carte à jouer. C’est dans ce contexte que, fin mai, les autorités françaises et brésiliennes ont signé une déclaration conjointe afin de soutenir la coopération des deux pays en matière d’innovation industrielle. Les échanges commerciaux et les investissements entre les deux pays devraient s’en trouver renforcés.

Interview - 

Alexia Ohannessian, réprésentante de Bpifrance au Brésil.

En raison de l’actualité sportive au Brésil, nous avons souhaité faire un focus sur le pays du point de vue d'Alexia Ohannessian. Elle nous livre ses impressions

Cette année, le Brésil est le pays organisateur de la coupe du monde de football. A cette occasion, y-a-t-il eu des opportunités pour les entreprises françaises ?

Il y a des grands groupes comme Accor, GDF, ou des sociétés d’événementiel qui ont tiré leur épingle du jeu, mais dans l’ensemble les entreprises françaises n’ont pas su profiter assez de cet événement. A noter tout de même que la PME Netco Sport a décroché un contrat avec la Fifa pour travailler avec 26 chaines de télévision internationales et fournir du contenu pour le deuxième écran (technologie mobile) dans 26 pays. Les entreprises françaises pourront toutefois se rattraper avec les jeux olympiques de Rio en 2016. Il y a des secteurs qui seront très opportuns à cette occasion : la gestion hôtelière, l’alimentaire, l’événementiel là encore…

En dehors de cet événement, quels sont les secteurs porteurs au Brésil ?

Le Brésil n’est pas encore assez innovant et a besoin d’innovations. Il y a d’ailleurs une politique gouvernementale qui exhorte les entreprises à être innovantes. Une entreprise française avec des produits innovants, aura donc un avantage non négligeable sur le marché local.
A noter également que depuis quelques années, le Brésil voit l’émergence d’une classe moyenne de plus en plus exigeante notamment dans les domaines de l’éducation et de la santé. C’est aussi une population très consommatrice.
Les régions les plus dynamiques se trouvent au sud et au sud-est et le nord-est est très prometteur.
Les secteurs d’avenir sont :
  • Energie
  • Oil &Gaz
  • Infrastructures
  • TIC

Comment aborder le marché au Brésil ?

Il y a 600 filiales françaises au Brésil et les Français jouissent d’une très bonne image !
Avant de pouvoir s’implanter au Brésil, il faut savoir que les démarches administratives sont très longues… Il faut compter 120 jours pour créer son entreprise alors qu’il en suffit de 7 en France. En outre avant que son business ne devienne mature, l’entrepreneur va devoir patienter 2 à 3 ans…Mais cela en vaut la peine car une fois installé, il peut obtenir de très belles marges et des contrats sur de longues durées ! Et encore une fois, il est nécessaire de bien comprendre la culture brésilienne et être prêt à s’y adapter.
Autre point important, l’entrepreneur doit être bien accompagné. Il existe, en effet, beaucoup de variations juridiques et fiscales selon les régions ainsi que des spécificités locales du marché qu’il faut savoir appréhender. Seul un professionnel installé sur place saura guider l’entreprise dans ce paysage. Ubifrance avec une équipe de 30 personnes au Brésil, tant françaises que brésiliennes, accompagne, par exemple, près de 500 entreprises par an.
En résumé, une entreprise française doit donc réunir des efforts, du temps et de l’argent pour réussir au Brésil. Le point mort peut sembler plus long à atteindre que dans certains pays mais une entreprise qui saura bien s’entourer augmentera considérablement ses chances de réussite. Etre financièrement sûr de soi dans son approche du Brésil est donc primordial.

Capture d'écran: http://www.bpifrance.fr
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BPIFRANCE et AGRO INVEST cèdent leurs participations dans la société BONTOUX
04 mars 2014 à 12h26 http://www.fusacq.com

Bpifrance et Agro Invest cèdent leurs parts minoritaires dans la société Bontoux à la faveur de l’entrée d’un nouveau partenaire financier Céréa Partenaire. La famille Bontoux se relue dans l’opération et reprend la majorité du capital.
Bontoux développe, produit et commercialise des huiles essentielles et des extraits végétaux aromatiques à destination des industries de la parfumerie, de l’agro-alimentaire, de la pharmacie et de la cosmétique. Le groupe réalise environ 30 M€ de chiffre d’affaires dont plus de 90% à l’export et emploie près de 145 personnes.

Les investisseurs financiers sont entrés au capital de la société en septembre 2009 à l’occasion d’une augmentation de capital de 7,5 M€. Ce financement était destiné à (i) sauvegarder un acteur clé de la filière française des plantes aromatiques bénéficiant d’une expérience centenaire, (ii) recentrer la société sur son marché de base et (iii) doter la société de moyens suffisant pour profiter de la croissance du marché sur les produits d’extraits naturels. En 4 ans, la société s’est fortement développée avec une croissance de plus de 10% par an en doublant sa rentabilité.

Dans un contexte de poursuite de sa croissance à l’international (Asie et Amérique du Sud notamment), le groupe a procédé à l’entrée d’un nouvel investisseur (Céréa Partenaire) pour franchir une nouvelle étape dans son développement.

Pour Bpifrance, Arnaud Legardeur, Directeur d’investissement - direction fonds propres PME déclare : « nous sommes fiers d’avoir cru au potentiel du groupe Bontoux, là où peu d’acteurs de l’époque souhaitaient investir. Bpifrance a ainsi joué son rôle de financement des PME à fort potentiel en donnant les moyens à la société de se structurer et de se développer ». Romain Gauvrit, Chargé d’investissement ajoute : « Rémy Bontoux et toute son équipe de management ont réalisé une performance remarquable permettant de pérenniser cette société familiale et de structurer le groupe à l’international ».

Pour Agro Invest, Jean-Baptiste Cuisinier poursuit : « Cet investissement a d’abord été motivé par notre confiance, qui s’est avérée amplement justifiée par les performances du groupe, dans la qualité du management et de l’encadrement du groupe Bontoux. En investissant chez Bontoux aux côtés de Bpifrance, un de ses sponsors, Agro Invest a rempli sa mission de structuration des filières agricoles, au profit, dans le cas présent, de la filière des plantes aromatiques et d’un groupe industriel familial au savoir-faire remarquable sous les deux aspects technologique et commercial ».

Pour Bontoux SA, Rémy Bontoux, Président conclut : « Bpifrance et Agro Invest ont été les partenaires adaptés pour nous aider à restructurer financièrement l’entreprise, comprendre les problèmes d’une société à taille humaine et accompagner le groupe dans son développement à l’international. La société possède à présent tous les atouts pour continuer à croître et tirer profit de toutes les opportunités qui s’offrent à elle. Au-delà des structures d’investissement, je tiens à remercier particulièrement Arnaud Legardeur, Jean-Baptiste Cuisinier et Romain Gauvrit pour leur efficacité et leur pragmatisme ».

Source : Communiqué de presse, Bpifrance

Capture d'écran: http://www.bontoux.com


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Rapport sur l'Evolution des PME : Découvrez l'édition 2013


07.02.14


Bpifrance vient de publier l’édition 2013 du Rapport sur l’évolution des PME
un ouvrage de référence qui rassemble de multiples données pour décrire l’activité de ces entreprises.

Quelques tendances fortes se dégagent de cette édition 2013 :
La dynamique entrepreneuriale se maintient, notamment chez les auto-entrepreneurs.
Les PME sont majoritairement bénéficiaires des marchés publics des collectivités territoriales.
Les entreprises de petite taille contribuent de façon significative à la croissance du nombre d’exportateurs en 2012.
Le capital-investissement, leader européen en nombre d’entreprises financées, 
demeure faible en volume investi ; 
la dynamique de levées de fonds reste supérieure à la moyenne européenne, 
grâce à l’action publique.
Les initiatives pour diversifier l’offre de financement des PME et ETI se multiplient.
PME et ETI sont le principal moteur de la dynamique de recherche et d’innovation en France.

Une version numérique enrichie

La version numérique de l’édition 2013, enrichie d’un millier de liens et d'une centaine de contenus, 
est disponible gratuitement en ligne.

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Cooptation de Bpifrance Investissement au Conseil de surveillance de Mersen

Paris, le 5 décembre 2013 -
Mersen (Euronext FR0000039620 ­ MRN), expert mondial des spécialités électriques
et des matériaux en graphite, annonce que le Conseil de surveillance du 30 octobre 2013
a coopté Bpifrance Investissement (ex-FSI) en remplacement de Monsieur Bertrand Finet,
appelé à d'autres responsabilités. Bpifrance Investissement sera représenté par Monsieur Thierry Sommelet. Directeur d'investissement senior chez Bpifrance Participations, Thierry Sommelet
a débuté sa carrière sur les marchés de capitaux au Crédit Commercial de France en 1992 à Paris,
puis à New York. Après des postes de management à Londres et à Paris,
il rejoint la Caisse des Dépôts et Consignations en 2002, en tant que responsable
des montages financiers au service Investissements et Participations Numériques.
Il rejoint le Fonds Stratégique d'Investissement à sa création, en 2008.
Thierry Sommelet est diplômé de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
et d'un MBA de l'INSEAD.

À propos de Mersen Expert mondial des spécialités électriques et des matériaux en graphite,
Mersen conçoit des solutions innovantes adaptées aux besoins de ses clients pour optimiser
leur performance industrielle dans des secteurs porteurs : énergies, transports, électronique, chimie/pharmacie et industries de procédés. Mersen, qui rassemble 6 800 collaborateurs
répartis dans plus de 40 pays, a publié un chiffre d'affaires pour 2012 de 811 millions d'euros.

Le Groupe est coté sur le Compartiment B de NYSE Euronext Paris

Paris, 5 décembre 2013 Visitez notre site Internet www.mersen.com
Contact
Véronique Boca Directeur de la communication Mersen Tél. + 33 (0)1 46 91 54 40
Email : dri@mersen.com

Contact Presse
Nicolas Jehly / Guillaume Granier FTI Consulting Strategic Communications
Tél. +33 (0)1 47 03 68 10
Email : nicolas.jehly@fticonsulting.com / guillaume.granier@fticonsulting.com

Voir le document original


Capture d'écran: http://www.mersen.com/
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Transmission d'entreprise : 
lancement du fonds TRANSMETTRE ET PÉRENNISER
10 décembre 2013 à 16h53 

La Caisse d'Epargne Bretagne Pays de Loire, sa filiale Sodero Gestion,
 et Bpifrance créent le fonds Transmettre et Pérenniser.
Le fond a pour objectif de collecter de l'épargne locale pour investir aux côtés des entrepreneurs
des régions Bretagne et Pays de la Loire.

Le fonds Transmettre & Pérenniser accompagne les équipes de management prêtes à s’engager financièrement pour conduire le développement et assurer la pérennité de leur société.
Il apporte ainsi aux dirigeants d’entreprise, une solution de transmission aux cadres managers
de leur entreprise.

L’annonce de la création de ce fonds sera officialisée le 9 décembre 2013 à partir de 19h30
à Nantes en présence de :

· Jean-Marc Carcelès, Président du Directoire de la Caisse d’Epargne Bretagne Pays de Loire,
· Claude Valade, Président du directoire de SODERO Gestion,
· Philippe Quelennec, Directeur Général de SODERO Gestion,
· Jean-Marc Ducimetière, Directeur Régional Bpifrance Pays de Loire.

Une gouvernance originale

Ce Fonds sera géré par SODERO Gestion pour le sourcing, l’instruction, la construction
et la finalisation des opérations. Pour la sélection des dossiers,
SODERO Gestion sera accompagnée par des dirigeants d’entreprises bénéficiant d’expériences
de gestion, de transmissions réussies et de situations de cohabitation avec des partenaires financiers. Pour ce faire, ils participeront en amont aux échanges nécessaires avec les vendeurs
et les managers en charge de la conduite future de la société reprise.
Par la suite, des dirigeants investis significativement dans le Fonds participeront également
à la gouvernance des sociétés reprises.

La réalisation effective du projet et la réussite de l’entreprise conduiront à terme
à sa prise de contrôle par la nouvelle équipe dirigeante.

Le fonds Transmettre & Pérenniser en quelques chiffres :

Valeur de l’entreprise : entre 5 et 25 millions d’euros

Origine des souscripteurs :

· 37.5% Personnes privées
· 25% Caisse d’Epargne Bretagne Pays de Loire
· 25% Bpifrance Investissement
· 12.5% BPCE

Objectif : 10 à 12 investissements d’ici 2017

Plus de renseignements : www.soderogestion.com

Sourc e: Communiqué de presse, Bpifrance


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Cardiologie : Bpifrance accorde 6 millions d’euros au projet CardioStem.
Capture d'écran: http://www.cellprothera.com
CellProthera
atteint une nouvelle étape vers la mise sur le marché de sa thérapie cellulaire, 
capable de régénérer le cœur après un infarctus sévère du myocarde. 
Le Comité d’innovation stratégique industrielle de Bpifrance a décidé
d'apporter son soutien au projet d’industrialisation thérapeutique
de la biotech alsacienne.Cette aide se traduit par l’octroi d’un financement
de 6 millions d’euros accordé au nouveau consortium CardioStem.
Ce projet collaboratif rassemble quatre sociétés et un laboratoire
de recherche autour du développement thérapeutique
conduit par CellProthera.
Le consortium CardioStem présentait toutes les conditions pour prétendre
au financement de Bpifrance : quatre acteurs privés et un laboratoire
autour d’un chef de file et d’un même projet d'innovation stratégique industrielle.
Six millions d’euros, dont 4,6 millions d’euros pour CellProthera, 
lui ont été accordés sous forme de subventions et d’avances remboursables.
Marie Zwarg, chargée de projets de la filière Santé et Sciences du vivant
de Bpifrance, précise : « Notre engagement pour CardioStem doit contribuer
à renforcer CellProthera et ses partenaires.
Le dispositif développé par le consortium constitue une véritable innovation
de rupture qui pourrait, à terme, révolutionner la cardiologie interventionnelle. 
Bpifrance est fier de soutenir ces champions de demain. »
Ce soutien significatif s’ajoute aux 8,5 millions de financements publics
et privés déjà obtenus par CellProthera en trois années d’activité.
Il participe à la phase d’industrialisation du concept thérapeutique
de la start-up alsacienne. CellProthera prévoit la commercialisation 
de ses premiers équipements (automates et kits individuels) à l’horizon de 2016. 
Pour l’heure, 
la start-up s’apprête à démarrer un essai clinique international chez l’homme.
Il s'effectuera dans une quinzaine de centres de thérapie cellulaire,
desservant chacun deux hôpitaux leaders situés en Europe,
au Canada et aux Etats-Unis.
Avec son traitement, CellProthera vise un marché estimé
entre 700 millions d’euros et 1,5 milliard d’euros sur l’Europe, les USA
et le Japon, à échéance de 5-6 ans.
Un million de patients admissibles pourraient en bénéficier
sur ces zones géographiques.
15.07.13
 
-->
CellProthera révolutionne le traitement de l’infarctus du myocarde
CellProthera, société de biotechnologie médicale créée en 2008
au cœur de l’Europe (Mulhouse, Alsace / France),
confirme son avancée majeure en matière de thérapie cellulaire cardiaque
après infarctus du myocarde (IDM).
CellProthera propose en effet une approche inédite
et révolutionnaire du traitement de l’infarctus,
véritable alternative à la greffe cardiaque.
Une étude clinique vient de confirmer tout le bénéfice
de cette innovation thérapeutique sans précédent à l’échelon mondial.
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Withings lève 23,5 millions d’euros auprès de Bpifrance,
Idinvest Partners, 360 Capital Partners et Ventech,
pour accélérer son développement à l’international et ses projets de R&D.
Withings, pionnier des objets connectés pour la santé et le bien-être,
annonce une levée de fonds de 23,5 millions d’euros auprès de Bpifrance
dont l’investissement s’élève à 11 millions d’euros, 
de IdInvest Partners et de 360 Capital Partners 
ainsi qu’auprès de Ventech, son actionnaire financier historique.
Clipperton a conseillé la société sur ce deuxième tour de financement.
Bpifrance effectue avec Withings sa première opération d’importance
dans le domaine du capital risque.
Capture d'écran: www.withings.fr
-->  Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance, déclare :
« Cet investissement aux côtés d’investisseurs reconnus est emblématique
de l’engagement de Bpifrance dans l’activité de capital-risque.
Withings est une très belle société française qui se développe fortement
dans un marché d'avenir : les objets connectés appliqués au secteur
de la santé et du bien-être.
Ces nouveaux moyens vont lui permettre d'accélérer son développement ».

Withings, pionnière de la santé 2.0
Pionnière de la révolution numérique en cours de la e-santé,  
Withings s’est d’ores et déjà positionnée comme l’un des leaders 
sur ce marché au potentiel de plusieurs milliards d’euros.
Créée en 2008 par Cédric Hutchings et Éric Carreel, Withings a développé 
des outils uniques pour transformer la vie au quotidien et améliorer le bien-être. 
Les utilisateurs sont équipés d’appareils dotés de fonctionnalités 
aux performances totalement nouvelles, à même d’améliorer leur quotidien 
et leur bien-être. Sur la base d’une force d’innovation inégalée, 
le groupe a tissé un écosystème autour de la santé numérique, 
agrégeant des solutions et appareils révolutionnaires, au design abouti, 
qui se connectent avec la plus grande facilité aux applications développées 
pour les smartphones et tablettes et aux interfaces Internet.
Le communiqué de presse du 18 juillet 2013 - Withings (393,78 ko)
Capture d'écran: www.withings.fr
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SREBOT Technologies
accélère son plan d'investissement en Moyens de Production modernes
afin de répondre à la croissance de ses marchés traditionnels
(Aéronautique, Oil & Gas)

 
Capture d'écran: http://www.srebot.com/
SREBOT Technologies inaugure cette semaine la mise en service
d'un tout nouveau moyen de production 5 Axes.
Nouvelle machine 5 Axes Continus Métaux Durs
Cette année SREBOT Technologies fête ses 40 ans au service
de l'industrie Aéronautique.
En combinant une équipe d'hommes et de femmes hautement qualifiés
avec des équipements à la pointe de la technologies,
nous visons à servir nos clients et leur apporter le meilleur service possible.
Notre compagnie est spécialisée dans la production
de composants de moyennes à grandes dimensions
(Diamètres jusqu'à 2.400mm) pour les industries Aéronautique (Moteurs),
Turbines à Gaz et Oil & Gas.
Ce nouvel équipement fait partie d'un plan d'investissement pluri-annuel
de 4,5 millions d'Euros destiné à accompagner l'évolution
et la croissance des Clients et des Industries que nous servons.
[15/07/13 PARIS - France] 
 http://www.excellence.bpifrance.fr
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Bpifrance publie son enquête annuelle 2013 sur les ETI :
la conjoncture des entreprises de taille intermédiaire.  
Ces résultats proviennent de la troisième enquête
de conjoncture menée conjointement par la DGCIS
et Bpifrance auprès des entreprises de taille intermédiaire (ETI) nationales,
en mars 2013. Cette enquête est actualisée chaque année.
Les ETI1 sont affectées par le ralentissement persistant
de l'économie européenne. Celles dont le marché est mondial
 intensifient leur internationalisation lointaine pour assurer leur croissance.
En mars 2013, les ETI françaises sont modérément optimistes
quant à l’évolution consolidée de leur activité cette année,
conséquence de la stagnation économique dans l’Hexagone
et du climat récessif qui perdure en Europe.
Le ralentissement des affaires affecte plus les secteurs de l’industrie
et de la construction que celui des services aux entreprises.
Seules les ETI dont l’activité est la plus internationalisée,
qui sont en majorité de grande taille, semblent échapper
à la décélération en cours grâce au dynamisme de leurs filiales à l’étranger,
surtout celles situées au-delà de l’Union européenne. Innovation 
et internationalisation sont intrinsèquement liées,
les ETI innovantes réalisant en moyenne 20 %
de leur activité à l’international, soit près de trois fois plus
que les « non innovantes ».
La population de référence des 3 139 ETI nationales
qui ont servi de base à cette enquête est composée des 634 ETI
ayant répondu à l’enquête de conjoncture 2012
et de 2 505 entreprises qualifiées "ETI" par la DGCIS.
Téléchargez l'enquête complète :
  
La nouvelle catégorie des entreprises de taille intermédiaire
a été introduite par la loi de modernisation de l’économie d’août 2008,
et précisée par le décret de décembre 2008.
Ce sont les entreprises qui n’appartiennent pas
à la catégorie des petites et moyennes entreprises,
et qui, d'une part, occupent moins de 5 000 personnes, d'autre part,
ont un chiffre d'affaires annuel n'excédant pas 1,5 milliard d’euros
ou un total du bilan annuel n’excédant pas 2 milliards d’euros.
Elles se situent donc entre les PME et les grandes entreprises (GE).
Le 10 juillet 2013
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Achèvement des processus d’apports de l’Etat
et de la Caisse des Dépôts à Bpifrance.
A l’issue des assemblées générales et des conseils d’administrations
de Bpifrance et des entités apportées, Bpifrance est désormais doté
d’un capital de 21 milliards d’euros.

Capture d'écran:
http://www.bpifrance.fr/
Les actifs transférés à Bpifrance comprennent principalement
 les participations de l’Etat et de la Caisse des Dépôts dans :
· CDC Entreprises, qui devient Bpifrance Investissement ;
· le Fonds Stratégique d’Investissement (FSI), qui devient Bpifrance
Participations ;
· OSEO, qui devient Bpifrance Financement.
(La liste des apports complémentaires à ces participations est jointe
en annexe au présent communiqué).
A l’issue de cette opération d’apports, Bpifrance restera détenu
à 50% par l’Etat via l’EPIC BPI-Groupe et 50% par la Caisse des Dépôts.
Bpifrance est une compagnie financière qui détient :
o 90% du capital de Bpifrance Financement, établissement de crédit
contrôlé par l’Autorité de Contrôle Prudentiel (10% étant détenus par
les acteurs de la place jusqu’alors actionnaires d’OSEO SA) ;
o 100% du capital de Bpifrance Investissement, société de gestion
agréée par l’Autorité des Marchés Financiers ;
o 100% du capital de Bpifrance Participations, qui porte les participations
en fonds propres directes et indirectes de Bpifrance.
Directeur général de Bpifrance, Nicolas Dufourcq a été également
désigné Président directeur général des trois Filiales.
Cette architecture permet de rassembler au sein d’une organisation homogène
Et fluide les équipes de financement et d’investissement en fonds propres
au service des PME et ETI françaises. Dans chaque direction régionale
de Bpifrance, elle offre ainsi aux entreprises la simplicité d’un interlocuteur
unique dans les 26 régions de France.
ANNEXE
BPIFRANCE - APPORTS COMPLEMENTAIRES
Outre leurs participations respectives dans le FSI, CDC Entreprises et OSEO,
La Caisse des Dépôts et l’Etat ont procédé aux apports complémentaires suivants :
Caisse des Dépôts
Au titre de l’ESS, ses participations dans :
· Insertion emplois Dynamique
· Insertion emplois Equilibre
· Insertion emplois Modéré
· Danone Communities Investissement Responsable
· Schneider énergie
· Solidarité – CCFD – Terre Solidaire (anciennement Eurco Solidarité)
· Liberté et solidarité
· Sogama Crédit Associatif
Au titre de la transition écologique, ses participations dans :

· Metnext
· GeoConcept
· HPC
· CitéGreen
· G2 Mobility
· Canibal
Ainsi que ses participations dans :
· Averroes Finance II
· Mode & Finance
· Patrimoine & Création
· Maghreb Private Equity Fund IIII
· Capital Dynamics European Venture 2005
· Limited Partnership UK High Technology Fund
· Tuninvest Croissance
· Capital North Africa Venture II
Etat
Ses participations dans :
· Sofired
Communiqué de presse http://www.bpifrance.fr/
Paris – Maisons-Alfort, le 12 juillet 2012
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Réseau Entreprendre®, bpifrance et la Caisse des dépôts
s'associent pour accompagner les entreprise en croissance.

A propos de RESEAU ENTREPRENDRE®
Qui mieux qu’un chef d’entreprise peut accompagner un nouvel entrepreneur !
-Réseau national d’accompagnement des créateurs 
et repreneurs de futures PME
-Notre offre, dans chacune de nos 71 implantations locales : 
un accompagnement par des chefs d’entreprises expérimentés, 
dans la durée, pour 100% des lauréats, une mise en réseau unique 
et un prêt d’honneur de 15 000 à 50 000€ sans intérêt ni garantie.
-Grace aux 11 000 chefs d’entreprise, 
les 800 nouveaux entrepreneurs accompagnes donnent naissance 
a 600 futures PME tous les ans.
-84% des entreprises accompagnées sont toujours en activité 
après 5 années d’existence.
-Nous contribuons ainsi à créer 
ou sauvegarder 6 000 emplois tous les ans.
-65 000 emplois ont été créés ou sauvegardes 
depuis notre création en 1986 par André Mulliez.
-Réseau Entreprendre® est présent à l’international dans 6 pays d’Europe 
et du Bassin Méditerranéen.
-Notre conviction : « Pour créer des emplois, créons des employeurs. »
Plus d’informations sur : www.reseau‐entreprendre.org

A propos de bpifrance
bpifrance, la banque publique d’investissement, 
constitue un outil de compétitivité économique au service des
entrepreneurs. Visant à offrir aux entreprises un continuum de solutions 
à toutes les étapes de leur croissance, 
bpifrance regroupera OSEO, CDC Entreprises, 
le Fonds Stratégique d’Investissement (FSI) 
et FSI Régions une fois l’ensemble des opérations de fusion juridiquement validées. 
bpifrance agit dès maintenant en appui des politiques publiques conduites 
par l’État et par les Régions pour répondre à trois objectifs : 
favoriser le développement économique des régions, participer au
renouveau industriel de la France, faire émerger les champions de demain. 
Elle assure en outre des services
d’accompagnement et de soutien renforcé à l’innovation, 
à l’export et à la croissance externe. 

A propos du groupe Caisse des Dépôts
La Caisse des Dépôts et ses filiales constituent un groupe public, 
investisseur de long terme au service de l’intérêt général 
et du développement économique des territoires. 
Sa mission a été réaffirmée par la loi de modernisation de l’économie 
du 4 août 2008.

Contacts presse :
‐ Réseau Entreprendre® :
Frédéric Tancrez, 
Directeur de la Communication de Réseau Entreprendre® 
‐ 06.86.49.06.34 ‐ ftancrez@reseauentreprendre.org
Jennifer Ghesquière 
– Flodrops : Responsable Relations Presse de Réseau Entreprendre® 
‐ 06.48.70.24.33 ‐ jflodrops@reseau‐entreprendre.org
‐ bpifrance :
Vanessa Godet ‐ 01 41 79 84 33 ‐ vanessa.godet@oseo.fr
Delphine Peyrat‐Stricker ‐ 06 38 81 40 00
‐ Groupe Caisse des Dépôts :
Service de presse ‐ 01 58 50 40 00

Communiqué de presse. Paris le 19 juin 2013
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Investissements d’Avenir
Premier bilan du FSN PME, le Fonds Ambition Numérique,
fonds dédié aux PME innovantes du domaine numérique,

Fleur PELLERIN, Ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, 
de l’Innovation e de l’Economie numérique, 
Louis GALLOIS, Commissaire général à l’investissement, 
Catherine MAYENOBE, Directrice de la Mission PIA au sein du 
Groupe Caisse des Dépôts et Paul-François FOURNIER, Directeur Exécutif 
de la Division Innovation de bpifrance, ont présenté, le 17 juin 2013, 
le premier bilan du FSN PME, 
le Fonds Ambition Numérique, 
fonds public dédié aux PME innovantes du domaine numérique.
Le FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, doté de 300 millions d’euros, 
a été constitué en décembre 2011 dans le cadre du Programme d’investissements 
d’avenir, et sa gestion a été confiée à CDC Entreprises, filiale du Groupe Caisse 
des Dépôts, et future entité de bpifrance. 
Son ambition es d’accélérer la croissance de PME innovantes et présentant 
de fortes perspectives de développement, notamment à l’international, 
et d’aider à l’émergence de champions français. 

Prenant le relais des fonds d’amorçage, le FSN PME, 
le Fonds Ambition Numérique, intervient en actionnaire minoritaire, 
toujours en co-investissement avec des investisseurs privés, 
dans des opérations de capital-risque et de capital développement technologique. 
Il investit entre 1 et 10 millions d’euros par entreprise.
Après 18 mois d’activité, le FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, 
est entré au capital de 14 entreprises dans des secteurs très diversifiés, 
comme les composants et systèmes , les objets connectés, les équipements télécom, 
les logiciels dans les segments cloud computing et big data, 
les offres innovantes de contenus numériques, ou encore la e-santé. 
Au total, 33 millions d’euros ont été initialement investis, 
sachant que l’accompagnement dans la durée des entreprises 
de son portefeuille conduira le FSN PME, 
le Fonds Ambition Numérique, à y réinvestir.

Dans les trois années qui viennent, le FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, 
poursuivra la réalisation de nouveaux investissements, 
avec un objectif de 40 entreprises financées au total.
La stratégie sectorielle qui a été précisée couvre des secteurs porteurs de croissance :
- Les secteurs technologiques indispensables au développement de l’économie numérique, 
en priorité :
o Logiciels, cloud computing, big data,
o Cybersécurité,
o Composants et systèmes,
o Robotique, objets intelligents.
- Les nouveaux usages ou services innovants, comme les smart cities, ou la e-santé.
Comme l’a montré le séminaire gouvernemental du 28 février 2013, 
le numérique est une priorité du Gouvernement. Fleur PELLERIN a déclaré : 
« FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, répond à la volonté du gouvernement 
d’accompagner l’essor des startups du numérique pour favoriser
l’émergence de leaders français : il va être complété par notre projet de 
« Quartiers numériques » en renforçant le programme d’accompagnement 
que nous mettons en place. Il permettra ainsi d’accélérer la croissance des entreprises, 
tout en s’insérant parfaitement, par son approche de coinvestisseur,
dans l’écosystème du capital-risque français. »

Louis GALLOIS a rappelé quant à lui que : 
« Le soutien à l’économie numérique est un des piliers du Programme des Investissements 
d’avenir. Nous avons mis en place un continuum d’outils de financement couvrant toutes 
les étapes de croissance des jeunes entreprises de cette filière
dynamique allant de l’amont, par du soutien à la R&D, jusqu’à l’aval par des financements 
en investissements. Le FSN PME est un maillon essentiel de ce continuum permettant 
de renforcer les financements en fonds propres accessibles aux entreprises innovantes 
du numérique à des stades clés  de leur croissance »
Information pour les entreprises recherchant un financement auprès du fonds FSN PME, 
le Fonds Ambition Numérique :
Un appel à manifestations d’intérêt simplifié, publié le 17 juin 2013, 
précise la stratégie d’investissement du fonds FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, 
et les modalités de présentation des projets portés par les entreprises. 
Les entreprises sont invitées à le consulter sur le site de CDC
Entreprises et sur le site du Groupe Caisse des Dépôts.

Pour contacter le fonds FSN PME, le Fonds Ambition Numérique :
Téléphone : 01 58 50 73 07 -
contact-fsnpme@cdcentreprises.fr
Pour télécharger l’appel à manifestations d’intérêt:
investissement-avenir.gouvernement.fr
www.cdcentreprises.fr
prochainement sur
www.bpifrance.fr

MINISTERE DELEGUEE CHARGEE DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES,
DE L’INNOVATION ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE
COMMISSARIAT GENERAL A L’INVESTISSEMENT
Communiqué de presse, le 17 juin 2013 

Pour en savoir plus sur les investissements d’avenir, consultez le site internet :
investissement-avenir.gouvernement.fr
Twitter : @CGI_PIAvenir

Contacts presse :
Cabinet de Fleur PELLERIN : 01 53 18 41 00
bpifrance : 01 58 50 73 02 / 06 38 81 40 00

Cabinet de Louis GALLOIS : 01 42 75 64 43
Caisse des Dépôts : 01 58 50 40 00

Les entreprises financées par le fonds FSN PME, le Fonds Ambition Numérique :

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Le Fonds Bois réalise son 8ème investissement
et son 1er dans une scierie de feuillusParis, le 25 juin 2013 -
Le Fonds Bois, géré par bpifrance (CDC Entreprises1) a investi 1,2 million
d’euros dans la société PMS, une scierie alsacienne spécialisée dans le Chêne, 
pour financer la modernisation de ses équipements 
et un développement dans la 2ème transformation.
Capture d'écran: site bpifrance
1 CDC Entreprises, sa filiale FSI Régions, le FSI et OSEO 
sont appelés à constituer bpifrance 
(banque publique d’investissement) une fois que toutes les étapes administratives 
et légales nécessaires auront été finalisées.

Le Fonds Bois, géré par bpifrance (CDC Entreprises), 
investit 1,2 million d’euros en obligations convertibles afin de renforcer 
les fonds propres de la scierie de feuillue spécialiste du Chêne PMS,
dans le cadre d’investissements structurants sur la 1ère 
et 2ème transformation de cette essence. 
Le Fonds Bois réalise ainsi son 1er investissement dans une scierie de feuillus.
Créée en 1971 par les frères Maechler et reprise en 2010 par M. Michel Hepp, 
la scierie PMS est spécialisée dans les plots de qualité et les frises. 
Implantée en Alsace, elle transforme ainsi 20 000m3 de grumes par an, 
à destination du négoce de matériaux de construction et des industriels
(fabricants de panneaux, parqueteurs).
Afin d’optimiser la gestion de ses stocks de produits finis, 
l’entreprise va investir dans de nouvelles capacités de séchage. 
Parallèlement, PMS crée une filiale dans la 2ème transformation, 
Laminoak, en association avec l’entreprise Chêne Concept, 
qui a développé un processus de collage du chêne
extrêmement performant pour les usages en extérieur, 
en remplacement des essences exotiques
(platelage, tout type de mobilier bois des espaces extérieurs). 
Laminoak va ainsi se spécialiser dans la fabrication industrielle 
de ces lames de chêne collé, fabriquées à partir des frises de PMS.
« PMS évolue sur des marchés difficiles et avec des produits 
où la valeur ajoutée est clé. Le Fonds Bois s’associe à son dirigeant 
pour aller encore plus loin et développer un produit innovant permettant
de valoriser au mieux la ressource en Chêne de nos forêts, » 
Isabelle Ginestet-Naudin, Directrice déléguée de CDC Entreprises, 
en charge du capital développement.
Un très fort effet de levier des investissements du Fonds Bois
Lancé fin 2009 et doté de 20 millions d’euros par le groupe Eiffage, 
le Crédit Agricole, l’Office National des Forêts (ONF) 
et le Fonds Stratégique d’Investissement (FSI1, amené à rejoindre bpifrance), 
le Fonds Bois a pour vocation d’investir en fonds propres 
et quasi fonds propres dans les PME/PMI françaises de 1re et 2e transformation du bois, 
afin d’accélérer leur développement et mieux exploiter
la ressource forestière française. Depuis sa création, 
le Fonds Bois a financé 8 PME françaises de la filière 
pour un montant de 14,4 millions d’euros, 
auxquels s’ajoutent 13,4 millions d’euros de fonds propres 
venant de co-investissements privés. Ces investissements en fonds propres 
et quasi fonds propres permettent la réalisation de près de 140 millions d’euros 
d’investissements productifs, soit un très fort effet de levier : 
pour 1 euro investi par le fonds, 
10 euros d’investissements sont financés dans ces entreprises.
Le Fonds Bois envisage de réaliser un dernier investissement structurant 
dans la filière (en plus d’éventuels réinvestissements), 
sa période d’investissement se terminant fin 2013. 
Le Fonds atteindra son objectif avec in fine plus de 150 millions d’euros 
de financements mis en place dans ses participations. 
Il a su trouver sa place dans un secteur d’entreprises de taille encore modeste 
et dotées de structures actionnariales essentiellement familiales. 
Les retombées attendues pourront se mesurer dans 3-4 ans. 
L’action du Fonds Bois entraînera une croissance significative de la consommation 
et de la transformation du bois français dans une logique de circuits courts, 
un chiffre d’affaires et une valeur ajoutée accrue pour la filière, 
ainsi qu’une moindre pénibilité du travail dans ces entreprises 
et une progression de l’emploi qualifié.

Investisseurs
bpifrance (CDC Entreprises) : Cédric Lowenbach, Vanessa Giraud
Conseils investisseurs
bpifrance (CDC Entreprises) : Edwige Kharoubi
Mazars : Laurence Fournier
Lamartine : Stéphane Rodriguez
Conseil société
CMS Bureau Francis Lefebvre : Audrey Ditsch-Antoine
Contact presse
bpifrance (CDC Entreprises) : Nathalie Police – 01 58 50 73 02 
– nathalie.police@cdcentreprises.fr 

A propos du Fonds Bois :
Le Fonds Bois est un FCPR de 20 millions d’euros, 
géré par bpifrance (CDC Entreprises) et souscrit
à parts égales par le FSI (future entité de bpifrance), 
le Groupe Eiffage, le Crédit Agricole et l’Office
National des Forêts au travers de sa filiale ONF Participations. 
Il peut investir en fonds propres et quasi fonds propres, 
avec pour mission de participer au développement et à la consolidation 
des entreprises de la filière bois. Ses prises de participation sont toujours minoritaires, 
et comprises entre 1 et 2 millions d’euros. Il se concentre notamment sur les secteurs 
de la scierie, de la construction bois 
(charpentes, menuiseries, murs en ossature bois, etc…) 
et de la production d’énergie à partir de bois 
(producteurs de plaquettes forestières et de pellets).
bpifrance (CDC Entreprises) s’appuie notamment sur l’expertise métier 
de la Société Forestière, filiale de la Caisse des Dépôts.

A propos de CDC Entreprises :
CDC Entreprises, future entité de bpifrance 
(banque publique d’investissement) est une société de gestion agréée par l’AMF, 
contrôlée par la Caisse des Dépôts. Elle est en charge de la gestion 
du programme public de financement en fonds propres des PME de croissance, 
FSI France Investissement, et des missions d’intérêt général 
du groupe Caisse des Dépôts dans le domaine du capital investissement pour les PME. 
A ce titre, CDC Entreprises gère les investissements 
de la Caisse des Dépôts et du FSI qui est son premier souscripteur. 
Elle se voit également confier des capitaux par des partenaires publics ou privés, 
financiers et industriels. CDC Entreprises gère ainsi pour le compte de l’Etat, 
le Fonds National d’Amorçage, le Fonds Ecotechnologies le volet PME 
du Fonds national pour la Société Numérique et le Fonds dédié aux Biothérapies 
et Maladies rares, dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir. 
www.cdcentreprises.fr
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Implantation des équipes parisiennes de bpifrance 
-- Précisions
Les éléments publiés récemment dans la presse au sujet des locaux parisiens 
de bpifrance présentent des contre – vérités sur les points suivants :
1. Le loyer mis en avant dans les articles correspond au tarif ‘’catalogue’’ 
avant une négociation particulièrement profitable pour bpifrance. 
Ainsi, si le loyer ‘’facial’’ est de 630 €/m² 
(en réalité 608 €/m² moyens archives comprises), le loyer ‘’économique’’, 
le coût réel une fois déduits la franchise et les divers avantages, 
est de 462 €/m²/an sur une période de 9 ans, 
les avantages jouant à plein les cinq premières années, 
le loyer économique s’établissant à 369 €/m² pendant cette période, 
avec un intérêt notable en termes de trésorerie. 
L’économie réalisée sur 9 ans 
sera de près de 9 millions d’euros par rapport à l’existant.
2. Le bailleur a consenti à une franchise de deux ans de loyers, 
et non un an comme allégué, 
ainsi qu’au financement de travaux à hauteur de 200 €/m².
3. Le bail n’est pas conclu pour une période de 12 ans 
mais de 9 ans, avec une possibilité de résiliation à 6 ans. 
A l’issue des 9 années, un renouvellement est prévu. 
Le non-renouvellement entraînerait le paiement 
d’un complément de loyer de 259 k€, soit 24 €/m². 
L’économie totale réalisée par rapport à l’existant 
demeurerait de près de 7 millions d’euros sur 9 ans y compris 
dans l’hypothèse d’un non renouvellement à 9 ans.
4. Les 10 800 m², archives comprises, ne sauraient accueillir 900 personnes 
mais 350 à 500 personnes, salles de réunion, archives et locaux techniques compris. 
Le ratio de 24 m² de surface utile brute / effectif ne correspond pas 
à une surface de bureau par personne. Ce ratio descend à 15m²/effectif 
en prenant en compte la surface utile nette, correspondant à la cible de l’Etat 
pour cet indicateur à horizon 2015, 
soit une densification des bureaux par rapport à l’antérieur.
5. Sur cette surface, 300 m² seront consacrés à l’accueil de TPE 
et PME des régions, qui disposeront moyennant un abonnement modique 
d’espaces de travail, d’accueil et de démonstration-exposition 
de leurs produits et services. Cette initiative traduit les liens 
qui unissent bpifrance au tissu des PME françaises. 
Avec cet espace dédié pour les entreprises, 
bpifrance traduit sa vocation d’être totalement mobilisé 
au service des entreprises. Cet espace sera mis en place 
avec le concours de start-ups spécialisées dans cette activité, 
dans la nouvelle mouvance dite de ‘’l’économie du partage’’ (‘’sharing economy’’).
6. Cette implantation n’est pas le siège de bpifrance, 
comme le suggèrent certains articles, mais son antenne parisienne. 
Elle accueillera les salariés actuels d’OSEO au service des entreprises 
de Paris intramuros, ainsi que les investisseurs jusqu’alors salariés 
de CDC Entreprises et du FSI au contact des entreprises 
et des co-investisseurs situés à Paris intramuros. 
En effet l'organisation d'OSEO a toujours compté trois implantations, 
une dans l'Ouest à la Défense, une autre dans l'Est à Noisy-le-Grand, 
une troisième à Paris, jusqu'alors rue Joubert au bout de la rue de la Victoire. 
La création de bpifrance ne pouvait être l'occasion d'une moindre proximité 
avec les clients de Paris intramuros. Le siège de l’entreprise 
et sa direction générale seront, eux, bien situés à Maisons-Alfort.
7. L’immeuble n’est par ailleurs pas situé dans ce que les professionnels 
de l’immobilier désignent comme le ‘’quartier central des affaires’’ 
mais exactement à mi-chemin entre place de l’Opéra et la rue du Sentier 
sur les "Grands Boulevards", à la jonction du boulevard Haussmann 
et du boulevard Montmartre.
Le choix de cette implantation est économiquement justifié :
8. Le regroupement d’équipes autrefois dispersées entre les rue de Lille, 
de l’Université et Joubert, pour un loyer de 569 €/m² en moyenne, 
permet d’économiser 9 millions sur 9 ans, 
le nouveau loyer s'établissant sur cette période à 462 €/m². 
Les cinq premières années seront particulièrement favorables 
compte tenu de la période de franchise.
9. Des surfaces comparables se sont négociées à des prix supérieurs 
dans des quartiers moins centraux, tels que la ZAC Rive Gauche 
(Grande Bibliothèque). La SEMAPA y commercialise actuellement 
des charges foncières impliquant des loyers de 540 €/m². 
De nombreuses entreprises s’y sont installées récemment pour ces prix, supérieurs 
à ceux obtenus dans l’immeuble Drouot de bpifrance.
10. 35 sites ont été sélectionnés, soit la quasi-totalité des produits disponibles 
eu égard à la surface nécessaire dans le délai imparti.
11. Sur ces 35 sites, 19 ont été visités (dont celui retenu). 
Sur ces 19 sites, 9 présentaient un loyer facial supérieur. 
7 autres présentent un loyer facial significativement supérieur 
au loyer économique obtenu sans perspectives de réelle négociation. 
Un site présentait un loyer économique comparable, à la gare de Lyon. 
Cet immeuble nécessitait des travaux très importants, 
non pris en charge par le bailleur et des charges au m² plus importantes 
que celles de l’immeuble retenu. Le dernier immeuble, à Alfortville, 
a été jugé trop éloigné des relations d'affaires des équipes "front" concernées. 
Les chargés d'investissement sont en effet au contact permanent d'entrepreneurs 
venus de toute la France et de partenaires tous installés dans le centre de Paris.
12. Le site de Maisons-Alfort ne peut accueillir la totalité des effectifs concernés. 
Quand l’Anses quittera les 4 000 m² qu’elle occupe dans ce bâtiment, 
les équipes des fonctions supports actuellement situées dans d’autres immeubles 
à proximité seront réintégrées au siège.
13. Notre actionnaire Caisse des Dépôts proposait deux scénarios 
de déménagement complet de l'ensemble du site de Maisons-Alfort, 
l'un Porte de Pantin, mais les surfaces étaient insuffisantes, l'autre à la Défense. 
Dans les deux cas, l'équation économique n'était pas convaincante 
sachant que le bâtiment de Maisons-Alfort appartient à bpifrance en pleine propriété, 
et la justification opérationnelle insuffisante pour convaincre les 1000 collaborateurs 
de Maisons-Alfort de basculer de l'Est de Paris,
 où ils sont pour l'essentiel domiciliés, à l'Ouest.
14. L’objectif de créer une communauté humaine 
qui mixe les métiers des anciennes entités, 
et ‘’fasse’’ littéralement bpifrance a aussi été recherché. 
Au niveau social, ce dispositif a facilité l’accord de construction sociale conclu 
avec l'ensemble des organisations syndicales 
de toutes les entités constitutives de bpifrance le 3 juin dernier. 
Sans cet accord, la mise en oeuvre rapide de bpifrance aurait été impossible.
15. bpifrance est une entreprise publique et non un opérateur de l’Etat. 
A ce titre, il n’est pas soumis aux règles mises en oeuvre 
par France Domaines sur l’immobilier public. 
Le bail a en outre été voté par la totalité du conseil d’administration d’OSEO, 
qui comprenait des représentants des directions du Trésor et du Budget, 
du ministère du Redressement Productif, des chefs d'entreprise, 
des banques actionnaires et des administrateurs salariés.
Contacts presse :
Antoine Boulay - 01 58 50 13 78
DelphinePeyrat-Stricker - 06 38 81 40 00
Communiqué de presse 11 juin 2013
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Nicolas DUFOURCQ 
devient Président de l’Etablissement Public BPI-Groupe
et Président d’OSEO, future branche financement de bpifrance.
Par décision parue au Journal Officiel du 15 juin 2013,
Pierre MOSCOVICI, Ministre de l’Economie et des Finances,
a nommé Nicolas DUFOURCQ Président du Conseil d’Administration
de l’Etablissement Public BPI-Groupe,
structure portant les parts de l’Etat dans OSEO,
future branche financement de bpifrance. L’établissement public BPI-Groupe
est le nom de l’établissement public OSEO
depuis la loi n° 2012-1559 du 31 décembre 2012
relative à la création de la Banque publique d'investissement. Nicolas DUFOURCQ
devient donc statutairement Président d’OSEO,
future branche financement de bpifrance.
Il succède à François DROUIN, appelé à d’autres fonctions.  
La réalisation des apports de l’Etat (via l’Etablissement Public BPI-Groupe)
et de la Caisse des Dépôts à bpifrance,
dernière étape juridique de la création de bpifrance,
déjà largement opérationnel depuis plusieurs mois,est prévue mi-juillet 2013.  
À l’occasion de sa nomination, Nicolas DUFOURCQ déclare :
« C’est une étape supplémentaire dans la constitution de bpifrance,
dont le processus touche à sa fin.
Je veux rendre hommage à François DROUIN
pour le travail exceptionnel qu’il a réalisé à la tête d’OSEOdepuis cinq ans. 
Partout en régions, nos Directions Régionales se mettent maintenant 
en place au service de l’innovation, du financement
et de l’investissement, au plus près des entreprises :
bpifrance devient une réalité. »  
Contacts presse : Antoine Boulay - 01 58 50 13 78
Vanessa Godet - 01 41 79 84 33 / vanessa.godet@oseo.fr
Delphine Peyrat-Stricker - 06 38 81 40 00
C_o_m_m_u_n_i_q_u_é _d_e_ _p_r_e_s_s_e_ _ 17 juin 2013  

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Renforcement de BPI/FSI au capital de CONSTELLIUM

Communiqué de presse

Le Ministre de l’Economie et des Finances Pierre MOSCOVICI

et le Ministre du Redressement Productif Arnaud MONTEBOURG

se félicitent du renforcement des participations publiques

au capital de CONSTELLIUM dans le cadre de son introduction en bourse.

Ce renforcement à hauteur de 12,5%, contre 9,4% auparavant,

représente un investissement de 50 millions d’euros pour la BPI/FSI.

Ce renforcement au capital de CONSTELLIUM

est une marque de confiance de l’actionnaire public

dans le potentiel de développement de l’entreprise.

BPI/FSI accompagne ainsi la stratégie de renforcement

à l’international de CONSTELLIUM

qui dispose de tous les atouts industriels et économiques pour devenir

un leader mondial des solutions aluminium innovantes

et à haute valeur ajoutée.

Cette évolution est parfaitement cohérente avec la stratégie

d’un actionnariat public au service de l’économie

et la volonté du gouvernement d’une filière forte de l’aluminium

sur la base industrielle française.

www.economie.gouv.fr - www.redressement-productif.gouv.fr

Paris, le 24 mai 2013 N° 613/501



Contacts presse:

Cabinet de Pierre MOSCOVICI 01 53 18 41 84

Laurent FARY

Cabinet d’Arnaud MONTEBOURG : 01 53 18 45 13

Marianne ZALC-MULLER
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"1976 a été la dernière année d'équilibre budgétaire en France."
« On n’imagine pas à quel point la France est un coffre-fort à idées »,
Interview de Raphaelle Duchemin, journaliste de France Info,
(Dailymotion) le 25 avril 2013 de Monsieur Nicolas Dufourcq,
directeur général de bpifrance
( banque publique d’investissement),
Nouvelle Marque: BPIFrance.
Nouvelle signature: Servir l'avenir.

Les autres points abordés concernent la trésorerie des entreprises,
la nécessité d’aller à l’international, les produits lancés par bpifrance
tels que le prêt pour l’innovation, le préfinancement du CICE avec OSEO,
ou encore la mise en place de bpifrance en région.

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Le 20/04/13
Louis GALLOIS doit se frotter les mains, car on se frotte à la BPI.
Motif: la vocation de la BPI et ses objectifs.
Pour Mr DUFOURCQ, DG, :"L'agenda, c'est la France 2030".
Pour Pierre MOSCOVICI: "Ce n'est pas un outil défensif, c'est un outil offensif".
Pour Jean-Pierre JOUYET, Président: 
"La BPI aura vocation à maintenir l'activité, mais pas à aider les canards boiteux."
Le Président François HOLLANDE a dit:
"La BPI doit engager une stratégie offensive".

BPI BANQUE PUBLIQUE d'INVESTISSEMENT
La BPI rassemble 2 200 salariés.
- OSEO accorde 5 000 prêts et en garantit 70 000 par an,
200 000 clients ( 80 % de TPE) 
et distribue 3 000 aides à l'innovation par an.
- CDC Entreprises (Caisse des dépôts et consignations d'entreprises)
finance et investit des petites sommes dans 800 entreprises par an.
- FSI (Fonds stratégique d'investissement)investit dans treize 
à quinze entreprises par an  à hauteur de plus de 10 millions par an.
Les rendements attendus sont de l'ordre de 30 à 40 %. 

La BPI n'investit pas dans les infrastructures, 
l'immobilier, la finance et la presse.
La priorité de BPI, c'est de préparer France 2030, 
de soutenir toute entreprise
qui est en mesure de multiplier sa taille par cinq à dix d'ici à 2030.
15/04/2013 - http://www.rue89.com/Journaliste Elsa Fayner.
Extraits de l'entretien de Mr Nicolas Dufourcq Directeur Général.
***
Les Echos Entrepreneur - 18/04/2013 par Valérie Talmon
Préfinancement du CICE : montée en puissance.
Jean-Marc Ayrault est également revenu dans cette interview 
sur le préfinancement du Crédit d'impôt Compétitivité-Emploi. 
Jean-Marc Ayrault:
 « Le dispositif de préfinancement a été lent à démarrer, 
mais il monte désormais rapidement en puissance, 
avec près de 200 demandes supplémentaires par semaine auprès de la BPI », 

De son côté la BPI aurait déjà attribué 120 millions d'euros
en facilités de trésorerie par les PME et TPE sur les 500 millions mis à disposition.

 Les principales aides de l'État
Aides
Montants (1)
Allègements Fillon sur les bas salaires
20,7
Crédit d’impôt compétitivité emploi
20
Taux réduit de TVA Bâtiment
5,3
Crédit d’impôt recherche
3,3
Taux réduit de TVA restauration rapide
3
Taux réduit de TIPCE sur le Fioul domestique pour les agriculteurs
2,1
Taux réduit de TVA sur les médicaments
1,9
Exonération de la participation, intéressements et plan d’épargne salariale
1,4
Taxe additionnelle à la CVAE et CFE versée aux CCI
1,3
Crédit d’impôt mécénat d’entreprise
0,8
(1) Milliards d’euros



BANQUE PUBLIQUE d'INVESTISSEMENT
42 Millards d'euros d'outils de financement et d'investissement
http://french.ruvr.ru 
20 Millions d' € prêtés aux entreprises.
12 Millions d' € de garantie de prêts accordés par les banques.
10 Millions d' € consacrés à des investissements
en fonds propres dans les entreprises.
Les fonds proviennent:
FIS Fonds stratégique d'investissement
La Banque publique des PME
Innovation OSÉO
CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts.
En plus,
150 millions d'€  à des fonds d'investissements dédiés 
aux PME et ETI exportatrices.  
***     
Dijon, 21 février 2013
Communiqué de presse :http://www.caissedesdepots.fr

Premier conseil d’administration
de la
Banque Publique d’Investissement


 Pierre MOSCOVICI, ministre de l’Economie et des Finances,

Arnaud MONTEBOURG, ministre du Redressement productif,

Jean-Pierre JOUYET, directeur général de la Caisse des Dépôts,

se félicitent de la tenue de ce premier conseil d’administration.



Dès le 3 janvier et via OSEO, 
futur pôle financement-innovation de la BPI, de 500 M€ 
de crédit de trésorerie pour les TPE et PME

Le 13 février, la BPI mettait en place le Crédit d’Impôt Recherche,

ainsi qu’un nouveau Prêt Pour l’Innovation (PPI) 
qui finance l’industrialisation et la commercialisation des innovations.

Le préfinancement du Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi

sera proposé par la BPI en février.




www.fonds-fsi.fr


www.caissedesdepots.fr

constitueront le futur pôle investissement de la BPI.

Ils poursuivent leur rôle d’investisseurs en fonds propres

et se mobilisent sur l’export d’une manière renouvelée.



Contacts presse:

- Ministère de l’Economie et des Finances :

Safia OTOKORÉ - 01 53 18 40 82

- Ministère du Redressement Productif :

Marianne ZALC-MULLER et Sandra-Andréa RENARD - 01 53 18 45 13

- Caisse des Dépôts :

François BACHY / Alexis NUGUES - 01 58 50 40 00

- BPI : Antoine BOULAY - 01 58 50 13 78
  
21 février 2013
Royal rate son train pour la réunion à la BPI à 14h30 à Dijon. 

 Jean-Pierre Raffarin, sénateur de la Vienne 
et opposant local de longue date de Mme Royal, a moqué cette nomination :  
"La voilà banquière !", s'est-il exclamé sur le talk Orange Le Figaro. 
"Jusqu'à maintenant, ses investissements, notamment dans le groupe Heuliez, 
ne l'avaient pas particulièrement qualifiée pour cette fonction."

BPI : Baroin tacle la "fée" Royal
Qualifiant la BPI d’"enfant mal né",

l’ex-ministre du Budget a taclé

le choix de sa vice-présidente. 

Baroin : la BPI "mérite mieux" que Royal


Ségolène Royal @RoyalSegolene

Au sein du Conseil d'administration de la BPI,

comportement exemplaire : fonction gratuite,

pas de rémunération et surveillance des dépenses
 

Royal à la BPI : 
NKM critique, 
Falorni lui souhaite "bonne chance"

 

Falorni - Royal: "On ne se hait pas, on se vomit"


BIP et CICE

 Madame Ségolène Royal pressentie vice-présidente de la BPI.

Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la, Caisse des dépôts,
Président de la BPI proposera au premier conseil d'administration
Mme ROYAL en tant que vice-présidente de la BPI.
Mme Royal a été nommée par décret du 18/02 au conseil d'administration 
de la BPI en tant que représentante des régions.
M. Louis GALLOIS en tant que représentant de l'État.
 
20 février 2013 Tweet
Servir modestement mais efficacement une grande idée : la B. P. I., 
banque des territoires, des PME, de la mutation écologique.

BANQUE PUBLIQUE D'INVESTISSEMENT  (BIP)
LOI n° 2012-1559 du 31 décembre 2012 relative à la création 
de la Banque publique d'investissement.
« En vue de soutenir la croissance durable, l'emploi et la compétitivité de l'économie, 
elle favorise l'innovation, l'amorçage, le développement, l'internationalisation, 
la mutation et la transmission des entreprises, en contribuant à leur financement 
en prêts et en fonds propres.
« Elle oriente en priorité son action vers les très petites entreprises, 
les petites et moyennes entreprises et les entreprises de taille intermédiaire, 
en particulier celles du secteur industriel. 

L'établissement public OSEO prend le nom d'établissement public BPI-Groupe.
Décret du 7 février 2013 portant nomination du directeur général 
de la Banque publique d'investissement - M. Dufourcq (Nicolas) 

Le CICE, Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi, 
financé par la BPI, Banque Publique d'investissement, 
à 85 % avec un taux compris entre 3 et 4 % selon les montants empruntés.

Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi.
Repères :
- Part de l’industrie dans la valeur ajoutée de la France
de 18 % à 12,5 % entre 2000 et 2011
- Nos parts de marché à l’export
-36 % depuis 2000 contre moins de -10% pour l’Allemagne ou pour l’Espagne
- Balance commerciale (hors énergie)
+17 Md€ en 2002 et -25 Md€ en 2011
- Coûts salariaux unitaires entre 2000 et 2011
environ +5 % en France
environ -15 % en Allemagne







 LE MINISTRE DE L’ÉCONOMIE PIERRE MOSCOVICI le 6 Février 2013 Paris
***
05/02/2013 : BIC - Consultation publique -  
http://bofip.impots.gouv.fr/bofip/

"CICE", Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi


Texte :
instaure un crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), 
correspondant à la première mesure prise dans le cadre du Pacte national 
pour la croissance, la compétitivité et l’emploi du 6 novembre 2012. 
Le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi a pour objet, 
en diminuant le coût du travail des salariés rémunérés jusque deux fois 
et demie le salaire minimum de croissance, d'améliorer la compétitivité des entreprises 
et ainsi leur permettre de réaliser des efforts en matière d'investissement, de recherche, 
d'innovation, de formation, de recrutement, de prospection de nouveaux marchés, 
de transition écologique et énergétique et de reconstitution de leur fonds de roulement.
Ce crédit d'impôt est codifié aux articles 244 quater C du code général des impôts (CGI)
Les commentaires portant sur ce nouveau dispositif 
et contenus dans les documents  BOI-BIC-RICI-10-150-10, BIC-RICI-10-150-20,  
BOI-BIC-RICI-10-150-30-10, BOI-BIC-RICI-10-150-30-20 et BOI-BIC-RICI-10-150-40  
font l'objet d'une consultation publique du 5/02/2013 au 19/02/2013 inclus, 
pour permettre aux personnes intéressées d'adresser leurs remarques éventuelles à l'administration. 
Ces remarques doivent être formulées par courriel adressé à l'adresse suivante :
bureau.b2-dlf@dgfip.finances.gouv.fr
Seules les contributions signées seront examinées.
Dès la présente publication, 
vous pouvez vous prévaloir de ces commentaires
jusqu'à leur éventuelle révision à l'issue de la publication.
 

Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi.



le portail de l’Économie et des finances 
dans le cadre du Pacte national pour la croissance,
le gouvernement informe des mesures prises pour
la compétitivité et l’emploi pour alléger les coûts des entreprises 
de 20Md€ par an via le « CICE ».

Il s'agit d'une baisse de cotisations sociales
par le biais d'une réduction d' l'impôt sur les sociétés à acquitter en 2014.
Pour les entreprises qui ne paient pas d'impôts,
le Trésor Public s'engage à leur verser le CICE.
En 2013, le "CICE" pourra être préfinancé,
auprès des établissements bancaires.
  

Un simulateur de calcul a été mis en œuvre 
et permet de calculer le montant de votre « CICE ».



Crédit d’impôt à calculer au titre des rémunérations versées :

Année
2013
2014
2015
2016
2017
Taux
4 %
6 %
6 %
6 %
6 %

Les rémunérations brutes sont comprises entre 1 et 2,5 le SMIC.



Pour en savoir plus :

-dimpot-pour-competitivite-et-lemploi

ou pour l’assiette du CICE : 
nouvel article 244 quater C du code général des impôts.

Gérard POCQUET
POCQUET FINANCE
Cabinet de Cession Acquisition Transmission d' Entreprise
Financement et stratégie d'entreprise

http://pocquetfinance.blogspot.com
http://www.viadeo.com/invitation/gerard.pocquet
http://fr.linkedin.com/in/gpocquet

Siège social: 19, rue Monsigny 75002 Paris
Tél: (0033) (0)9 75 24 93 93
Mobile: +33 (0)6 12 13 26 02
Fax: 0033 (0)1 47 42 10 10

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